Suite à l’intervention policière en début de semaine, je me suis rendu dimanche 15 avril sur la ZAD de NDDL en compagnie de milliers de citoyen.ne.s venus défendre le partage des communs contre l’asphyxie des terres.
À Notre-Dame-des-Landes la mobilisation a poussé à l’abandon d’un GPI synonyme de catastrophe environnementale tout en permettant l’expérimentation d’alternatives agricoles. Ces projets d’alternatives, d’utilité publique, participent à inventer de nouvelles pratique pour notre modèle agricole.
Les collectifs locaux travaillent depuis des mois à l’élaboration de cadres expérimentaux pour une gestion partagée des terres à la hauteur de l’urgence écologique. Les député.e.s de la France Insoumise soutiennent les habitants et agriculteurs pacifiques qui portent ces projets au service de l’intérêt général et de la défense des communs.
Retrouvez la tribune que j’ai cosigné à ce sujet avec ma collègue Mathilde Panot pour Médiapart